Contents
- What foods are prohibited or should be avoided when breastfeeding?
- In video: How can diet influence my breastfeeding
- Breastfeeding and alcohol: true from false
- What food promotes the flow of milk?
- Quoi manger pour avoir beaucoup de lait maternel ?
- What to eat when breastfeeding to avoid colic?
- Can a breastfeeding mom follow a weight loss diet?
- Peut-on allaiter si on est végétarienne ou végétalienne (vegan) ?
- How Many Calories Should a Breastfeeding Mom Eat?
- Allaitement : le cas du calcium
- Faut-il prendre des vitamines et autres compléments alimentaires ?
What foods are prohibited or should be avoided when breastfeeding?
La question serait plutôt “Are there really foods that are prohibited when breastfeeding?”Because unlike pregnancy, where many foods are prohibited for bacteriological reasons (to avoid toxoplasmosis, listeriosis, salmonellosis, etc.), l’allaitement est beaucoup plus permissif. Une bonne nouvelle pour toutes les mamans qui ont passé neuf mois à saliver sur un camembert au lait cru, du saumon fumé, ou même une simple salade de crudités servie en terrasse d’un restaurant.
Sage, “THE” food not recommended during breastfeeding
If we had to remember only one food that is strongly discouraged when breastfeeding, it would in fact be… a plant. Sage is in fact not recommended, simply because it has une activité “œstrogènes like” et que, de ce fait, elle diminuerait drastiquement la production de lait. Elle est même souvent utilisée comme aide pour diminuer la sécrétion lactée en cas de sevrage de l’allaitement.
As a precaution, it is therefore better to avoid sage herbal teas or dishes that contain a large amount of it.
Persil, menthe, chou, ail, chocolat et allaitement : le vrai du faux
Le persil et la menthe are rather to be consumed sparingly, because these two plants would be, like sage, anti-galactogens, that is to say likely to reduce lactation. The important thing would be not to consume too much of it, but not enough to panic when faced with a salad that contains only a few sprigs.
Ail, chou, épices… We hear all kinds of things about what foods should be best avoided when breastfeeding. Certainly, le lait maternel prend légèrement le goût (et la couleur !) des aliments mangés par la maman. But it would be a shame to deprive baby of all these palettes of taste, for fear that he will refuse the breast. There will always be time a posteriori, if we note, thanks to a journal alimentaire, que le chou mangé par la maman provoque des gaz au bébé allaité, d’éviter d’en manger à l’avenir. Idem pour les boissons gazeuses : “I dream of seeing carbonated milk”, Jokes Carole Hervé.
Some breastfeeding moms have found that their babies seemed embarrassed after they ate chocolate. Several reasons have been put forward to explain this phenomenon, without any real proof being found. Are compounds such as theobromine or thyamine involved? The presence of substances from soy (lecithins in particular)? Or even the residues of dairy products? We don’t know. For example, mothers have noticed that their chocolate consumption seemed accélérer le débit du lait. La tenue d’un journal alimentaire permettra de s’assurer que c’est bien le chocolat qui pose problème, ou s’il s’agit de tout autre chose.
Thé, café, caféine et allaitement, compatibles ?
Caffeine passes into breast milk. Also, if you consume a lot of it, it can be felt on your baby, which can be more irritable, more nervous, more difficult to fall asleep …
Thé, café et autres boissons contenant de la caféine (boissons énergisantes notamment, chocolat dans une moindre mesure) sont donc à limiter, d’autant que l’élimination de la caféine est plus lente chez le bébé que chez l’adulte. On conseille donc de boire at most the caffeine equivalent of two to three cups of coffee (300 mg of caffeine / day).
Note that if Coca-Cola type drinks contain less caffeine than a classic cup of coffee, they are also rich in sugar and / or sweeteners, qu’il vaut mieux limiter, autant que possible, durant l’allaitement, comme durant la grossesse d’ailleurs.
As for tea, the theine it contains empêche la fixation du fer, so we recommend to consume onlyaway from meals (1 heure 30 avant ou après au moins) pour éviter l’anémie par carence en fer.
In video: How can diet influence my breastfeeding
Sushi, viande crue, toxoplasmose, listériose : c’est fini quand on allaite ?
C’est la bonne nouvelle pour toutes les femmes qui raffolent de fromage au lait cru, de sushi et autres makis californiens, de steak tartare : les restrictions qui s’appliquaient durant la grossesse n’ont plus de raison d’être. En effet, les éventuelles bactéries présentes dans l’alimentation ne passent pas dans le lait maternel. Pas de risque, donc, de rendre bébé malade. Mais comme il serait dommage de contracter une intoxication alimentaire, on veillera toutefois à la fraîcheur des produits consommés.
When it comes to raw fish, be careful not to overdo it, because predatory fish at the top of the food chain, such as salmon and tuna, can be highly contaminated with methyl mercury, lequel passe dans le lait maternel.
Breastfeeding: beware of fish rich in mercury
As during pregnancy, young mothers who are breastfeeding are advised to limiter leur consommation de poissons prédateurs tels que la daurade, l’espadon, le marlin, le requin, la lamproie, le siki, le bar ou encore le thon. A éviter aussi, le foie de poisson (de morue notamment), qui accumule beaucoup de polluants. L’Association nationale de sécurité sanitaire (Anses) recommande en outre de diversifier les espèces de poisson consommées et les lieux d’approvisionnement (wild, breeding, fishing grounds, etc.).
Mieux vaut privilégier les poissons en bas de la chaîne alimentaire, comme la sardine et le maquereau, qui sont par ailleurs intéressants pour leur teneur en acides gras oméga-3. A ce propos, citons également vegetable sources of omega 3 that are: oil of walnuts, hemp or flax and oilseeds, among others.
Et le soja, on peut ou pas ?
Soy contains phytoestrogènes qui passent dans le lait maternel. Aussi, comme durant la grossesse, les produits au soja ne sont pas foncièrement interdits durant l’allaitement, mais il est conseillé de limiter sa consommation à un produit à base de soja par jour (soy yogurt, tofu, soy-based vegetable milk, tempeh, etc.). Knowing that the content of isoflavones (les fameux phytoestrogènes tant décriés) des produits à base de soja varie selon le mode de fabrication : les fèves de soja grillées en contiennent bien plus que le tofu, par exemple. Mais comme la teneur en isoflavones n’est pas indiquée sur l’étiquette, difficile d’évaluer son exposition. Donc le principe de précaution s’impose.
Breastfeeding and alcohol: true from false
“Contrary to what you might think, breastfeeding does not mean becoming a saint”, souligne la consultante en lactation Carole Hervé. Loin de vouloir banaliser la consommation d’alcool pendant l’allaitement, la spécialiste indique qu’il est possible de concilier une consommation modérée et épisodique d’alcool avec le fait d’allaiter, mais que le problème réside dans la définition de la “modération” et de l’interprétation des femmes. Because alcohol passes into breast milk: the alcohol levels measured there are similar to those measured in mother’s blood, and reach their maximum 30 to 60 minutes after consuming an alcoholic drink. Although studies differ as to the consequences of alcohol consumption during breastfeeding on the present and future health of the baby, the Prudence and moderation demeurent de mise.
La consultante en lactation Carole Hervé nous confirme que, même lorsque l’on parle d’alcool, les bienfaits de l’allaitement demeurent greater than the risks related to this consumption, provided that it remains occasional and reasonable.
“We know that if the mother consumes too much alcohol, her milk ejection reflex sera altéré, ce qui protégera en quelque sorte son bébé”, Details Carole Hervé. There are on the web paintings (notamment ici ou là) indiquant, selon le poids de la mère et le nombre de verres d’alcool consommés, le temps qu’il faut attendre avant de donner le sein à son bébé. Plus la quantité d’alcool consommée est grande, plus il faudra attendre avant de pouvoir remettre bébé au sein en toute quiétude.
Dans la pratique, ce type de tableau est compliqué à respecter à la lettre, c’est pourquoi l’on a tendance à conseiller le “zéro alcool” durant l’allaitement, au risque de décourager certaines mères qui aimeraient donner le sein mais y voient là la contrainte de trop, ou d’entraîner des sevrages précoces.
For “gain peace of mind”, les femmes qui allaitent et souhaitent consommer un peu d’alcool peuvent express their milk beforehand, and wait several hours before breastfeeding their baby again, advises Carole Hervé. Note that there is des alcootests pour le lait maternel (Milkscreen or Miloo), in particular for sale on the internet, which make it possible to know whether breast milk is alcoholic or not, and at what height.
Il faut cependant garder en tête que plus un bébé est jeune, plus il tète souvent. Les toutes premières semaines d’allaitement ne sont donc pas vraiment le bon moment pour s’octroyer un petit verre de vin, de champagne ou autre. Plus tard, lorsque les tétées seront plus espacées, il sera plus envisageable de tremper ses lèvres dans un verre d’alcool sans avoir à mettre en place tout un protocole de tirage du lait pour ne pas donner du lait maternel alcoolisé.
What food promotes the flow of milk?
The flow of milk, which occurs about two to three days after the baby is born, is a physiological phenomenon. Ce processus est déclenché par la chute des hormones placentaires après l’accouchement et l’expulsion du placenta. Aussi, il n’y a pas vraiment de choses à manger ou au contraire à ne pas manger pour l’influencer.
En revanche, certaines plantes et aliments peuvent ensuite influer sur la production de lait, que ce soit en l’augmentant (sans miracle toutefois) ou en la diminuant (la sauge, notamment).
Pour favoriser la montée de lait, plutôt que de se ruer sur des aliments dits galactogènes, We will first try other tips that have been proven: des tétées précoces (ou à défaut l’expression manuelle du lait ou avec un tire-lait), et des tétées fréquentes et efficaces (ou rendue comme telles par le biais d’un geste de compression de la glande mammaire par exemple). Car plus un bébé va téter souvent les premiers jours, plus le sein sera drainé et la lactation stimulée. Avec in fine, une montée de lait qui se déroulera mieux et a priori sans engorgement.
Quoi manger pour avoir beaucoup de lait maternel ?
Il existe des plantes dites galactogènes, connues pour augmenter la production de lait. Citons notamment le fenugrec, le galéga et le chardon béni and le fenouil et l’anis vert dans une moindre mesure. En sachant que le fenugrec a une odeur très forte et possède des contre-indications, notamment car il stimule l’appétit et peut entraîner une hypoglycémie (à éviter en cas de diabète, notamment). Il est également déconseillé aux personnes qui souffrent d’une allergie à l’arachide.
First of all, if you want to increase your milk production, you should first and foremost ensure that efficient and optimal breast drainage, soit par le bébé, soit via un tire-lait ou l’expression manuelle du lait.
Subsequently or in parallel, and in the absence of contraindications, we can turn to the so-called plants galactogènes.
What to eat when breastfeeding to avoid colic?
Be careful not to blame it all on colic, alert Carole Hervé, lactation consultant. Recalling that the “hackneyed definition”, c’est 3 heures de pleurs, 3 jours par semaine, Carole Hervé privilégie la notion de “unexplained infant crying“.
Attention en outre à ne pas mettre trop vite une étiquette de “colicky baby ”, at the risk of missing something else. “Certains bébés ont simplement besoin d’un peu plus d’affection“,”d’être plus souvent dans les bras”, d’autres ont une pathologie sous-jacente qu’il s’agit de traiter (reflux gastro-œsophagien pathologique, réaction allergique…), précise Carole Hervé.
Before looking at foods to avoid against colic in babies, we can first vérifier que la prise du poids de bébé est bonne, qu’il tète bien et fait suffisamment de rots, qu’il mange à sa faim et que ses besoins de contact, de proximité sont bien couverts (on parle parfois de «bébé aux besoins intenses», ou BABI).
Dans un second temps, on pourra mettre en place un journal alimentaire, où l’on notera ce que l’on mange et les réactions du bébé, afin de mettre en évidence une éventuelle intolérance alimentaire, et désigner le ou les aliment(s) responsable(s), qu’il s’agira d’éviter pour le bien-être de bébé. Si cela ne suffit pas, il sera parfois utile de demander l’avis d’un thérapeute manuel (ostéopathe, chiropracteur), lequel pourra peut-être identifier une quelconque tension qui a une influence sur le comportement du bébé.
Can a breastfeeding mom follow a weight loss diet?
Oui. Et non. Il est fortement déconseillé de se lancer, sans accompagnement par un professionnel qualifié, dans un régime amaigrissant hypocalorique. Car un régime drastique et mal conduit pourrait entraîner des carences pour la maman, and ultimately incomplete supplies for her baby. Also, when a woman loses weight, she will lose fat and eliminate des toxines dont une partie pourrait aller se loger dans son lait (lequel restera malgré tout bénéfique au bébé).
On the other hand, it is possible, if one is followed by a dietitian or a competent nutritionist doctor and aware of the specific nutritional needs of breastfeeding, to follow a diet to lose weight while breastfeeding.
There are in fact specific protocols for breastfeeding mothers, which se rapprochent plutôt d’un rééquilibrage alimentaire que d’un régime minceur. En clair, il s’agira de manger mieux plutôt que de manger moins, par exemple en privilégiant des cuissons avec peu de matières grasses, en optant pour des “bons gras” plutôt que des graisses “trans”, en supprimant les plats industriels, les fritures, viennoiseries et autres pâtisseries, ou encore by doing more physical activity.
However, keep in mind that part of the weight that we gain during pregnancy is intended to help the mother find the energy necessary to breastfeed. In addition, in the medium term, breastfeeding women retrouvent leur poids de forme plus facilement que celles qui n’ont pas allaité.
Plutôt que de se focaliser sur la balance, dont on aimerait voir les chiffres descendre plus vite, mieux vaudrait prendre son mal en patience, car chez certaines femmes, l’allaitement s’accompagne d’a loss of fat stored during pregnancy, and this without the slightest effort or draconian diet. For others, however, it is more complicated, especially because breastfeeding can make you hungry.
It may be worth it to give yourself several months to see how your body responds to breastfeeding. There will always be time to then embark on a weight loss diet, in parallel or after your breastfeeding plan.
Peut-on allaiter si on est végétarienne ou végétalienne (vegan) ?
It is quite possible to breastfeed if you are vegetarian, or even vegan, that is to say that you exclude all foods of animal origin from your plate (dairy products, meat, fish, eggs ).
Une mise en garde cependant : une femme qui allaite et qui suit un régime végétalien (aussi appelé vegan) devra impérativement se supplémenter en vitamine B12, car celle-ci est absente des aliments d’origine végétale ou des champignons (hors produits enrichis). Cette vitamine est produite par des micro-organismes présents dans le sol, ou vivant en symbiose dans le tube digestif de certains animaux.
Aussi, si le fait de manger des produits laitiers et/ou de la viande permet généralement de couvrir les besoins en B12, une alimentation végétalienne ne suffit pas. Une femme qui choisit d’allaiter devra donc être particulièrement vigilante sur ce point, pour le bon développement du cerveau de son bébé.
Pour le reste, l’important est d’adopter un régime équilibré, qu’il soit végétarien, végétarien, omnivore, flexitarien ou autre, avec suffisamment de glucides, de protéines, de lipides, de vitamines et de minéraux.
Si l’on suit un régime alimentaire particulier et que l’on s’inquiète de ses répercussions sur la composition du lait maternel, on peut toujours consulter un professionnel de santé pour faire vérifier ses apports, et pourquoi pas se faire prescrire des compléments alimentaires adaptés pour pallier une éventuelle carence, ou si l’on a du mal à suivre un régime équilibré (valable également chez les omnivores, d’ailleurs).
Because what a breastfeeding mother does not provide for her baby through food, l’organisme le prend sur les “réserves”. Clearly, an insufficient supply of essential vitamins or minerals may result in a deficiency in the mother.
How Many Calories Should a Breastfeeding Mom Eat?
Pas de panique : il n’est nul besoin de compter assidûment les calories lorsqu’on allaite. Cependant, il est bon de savoir que l’allaitement est un processus qui demande de l’énergie : une femme qui allaite de manière exclusive a besoin en moyenne de consommer 300 to 1 more calories per day qu’une femme qui n’allaite pas. Ce qui équivaut a minima à deux collations de plus par jour, par exemple en milieu de matinée et au goûter. C’est l’occasion de se faire plaisir tout en veillant par exemple à ses apports en calcium, avec pourquoi pas des fruits secs et oléagineux (noisettes, amandes), un fruit, un laitage…
Of course, this excess of calories is not to be taken literally, because it also depends on the physical activity of the nursing mother, her weight, her nutritional state, her baby’s appetite. … The idea is above all toécouter sa faim et de manger équilibré, et ce pendant toute la durée de l’allaitement.
Allaitement : le cas du calcium
Breastfeeding is one of the times of life when calcium needs are greatest, as they peak at 1 mg / day.
Pour les atteindre, il est recommandé de manger 3 à 4 produits laitiers par jour, by favoring cheeses rich in calcium (Comté, Cantal, Beaufort, etc.), and / or drinking water rich in calcium (Hépar, Contrex, Courmayeur…). Mais il existe aussi des sources végétales de calcium qu’il serait dommage de ne pas consommer : fruits à coque (amandes, noisettes, noix…), laits végétaux enrichis en calcium, légumes à feuilles vertes (épinards, poireaux, cresson, roquette…), sésame. Ces aliments seront à consommer en quantité suffisante en cas de régime végétalien.
Faut-il prendre des vitamines et autres compléments alimentaires ?
Dès lors que l’on a une alimentation variée et équilibrée, il n’est a priori pas nécessaire d’avoir recours à des compléments alimentaires quand on allaite.
Cela étant, de nombreuses femmes enceintes se voient prescrire des complexes multivitaminés par leur gynécologue ou sage-femme, et projettent donc de continuer durant l’allaitement. A priori, pas de problème, mais se pose la question de l’utilité de ces compléments si l’on a une alimentation équilibrée, et que l’on mange de tout en quantité raisonnable. Il faut garder en tête que les compléments alimentaires contiennent additives (anti-agglomérants et autres colorants, dont très décrié le dioxyde de titane…). En dehors d’une carence connue, mieux vaudrait donc s’en passer.